Parc de 10 ha, réhabilité depuis peu dans l'esprit du 18ème siècle avec terrasses, statuaire, bassins, parterres de broderies et une vaste roseraie de plus de 40 variétés.
Usine textile Van de Walle
Patrimoine industriel, artisanal, rural, agricole et technique
CHAUFFAILLES
En architecture, l’usine textile Van de Walle est un bel exemple de « palais » de l’industrie avec son imposante façade de béton et de verre. Construit en 1930, ce bâtiment de stockage est particulièrement marquant avec ses verrières et sa marquise, au-dessus de laquelle figure l’enseigne de l’usine. A proximité, la maison du directeur (aujourd'hui maison d'hôtes) forme un ensemble bien conservé.
L'usine abrite aujourd'hui le centre bien-être Quinthessence.
Musée du site gallo-romain : moules, figurines en terre blanche, objets des fouilles de 1984-1986. Visite ponctuelle, information auprès de la mairie.
Palinges fait partie de la Vallée de la Céramique.
Au XIX° siècle, Palinges comptait 6 industries céramiques à la Melchère (Bernard et Contant), la Motte (Diossin), la Pépinière (Dessertaine-Chotet), les Sauges (Simon-Musson), le Montet (Laujorrois- Ruaut-Pajot-Paissaud-Deyrieux-Bordelais) et le Fourneau (Chèze). Vint s'ajouter une 7ème industrie au début du XX° siècle avec le site des Badeaux (Ducrot).
Le musée renferme une très belle collection de céramiques datant de 1811 à aujourd'hui avec les Terres Cuites de Bourgogne.
Rétrospective sur l'histoire de l'usine Puzenat de 1882 à 1956, qui a révolutionné le matériel agricole, en France et à l'étranger, au début du XXème siècle. Exposition de plusieurs machines Puzenat et présentation du travail du bois à travers une collection d'outillage, dont plus de 400 rabots.
Un des nombreux monts qui jalonnent la commune de Beaubery. Il culmine à 561 mètres. Explorez le avec vos chaussures de randonnées en suivant les chemins balisés des Balades Vertes.
Musée ouvert en 2010 qui réunit les collections archéologiques de M. Sabatier (1883 - 1947), ancien pharmacien de Saint-Bonnet-de-Joux, qui en a fait don à la commune. Ses fouilles ont eu lieu sur 3 sites principalement : Suin, Ballore et Sainte-Colombe. Les collections sont complétées par du matériel proto-historique (clés, balances, serrures, etc.). Deux vitrines sont consacrées à la minéralogie et l'histoire géologique du village. Plusieurs albums de cartes postales anciennes du canton peuvent être aussi consultés sur place.
Le lieu-dit La croix des vignes offre une vue à 360° sur tout le Brionnais. Une aire de pique nique a été conçue pour le plaisir des touristes et des locaux (tables, bancs et sanitaires). Cet espace de détente est enrichi par une table d'orientation permettant d'expliquer le panorama qui s'offre à vous.
Culminant à 501 mètres d'altitude, le mont Châtelard vaut le détour, puisqu'en plus du panorama, on peut y découvrir le monument de la Résistance (grande croix de Lorraine), en hommage aux nombreux maquis de résistants qui s'étaient constitués pendant la Seconde Guerre mondiale dans la région, alors séparée par la ligne de démarcation.
L'église de Ligny-en-Brionnais est en partie romane. Le chœur et l'abside sont datés de la première moitié du XIIe siècle, la nef a été allongée vers l'ouest au XIXe siècle.
Installées en 1632 dans cette maison médiévale bourgeoise, les Clarisses enseignaient "la crainte de Dieu", le catéchisme, la lecture, l'écriture, la couture et les bonnes mœurs. Leurs propriétés s'étendaient jusqu'à la limite de la salle du bailliage actuelle où la chapelle principale devait se tenir. Les cellules des novices étaient installées sur la galerie sous laquelle une chapelle était implantée. Le site est connu pour avoir accueilli Sainte Marguerite Marie Alacoque qui y a fait sa première communion. Vestiges : tours d'escaliers et fenêtre à meneaux du XVème siècle, galerie et fenêtre de la façade XVIème siècle.
La chapelle du hameau de Saint-Georges, autrefois sous le vocable de Saint-Fortuné, semble de fondation très ancienne. D'après une charte du cartulaire de Cluny, elle aurait été édifiée au Xème siècle. Aujourd'hui, elle demeure un lieu de pèlerinage pour les "Blancs". Les membres de cette minorité religieuse anticoncordataire viennent y prier, chaque année, après la fête de Saint-Georges. À proximité de la chapelle, les eaux de la fontaine de Saint-Georges possédaient, dans la croyance populaire, des vertus de guérisons contre des maladies atteignant les enfants : épilepsie ou rachitisme.